Étrange titre qui associe l'amour à la violence révolutionnaire ? C'est que l'amour prêché par Jésus ne ressemble pas à un vague sentiment de bien-être : il « révolutionne les vies », dit l'auteur. Il transforme chaque jour, vers plus d'honnêteté envers Dieu, envers les autres et envers soi. Décrire ce changement au quotidien, c'est le défi captivant que relève l'auteur à l'aide de son indéniable talent de conteur africain.
Avec humour et beaucoup de profondeur, il replace le rôle de la croix au centre de la vie du chrétien : jalousie, hypocrisie, orgueil… Tout y passe ! « Ce que j’ai découvert, dit-il, c’est combien Jésus aime à remplir les vides. Tout ce qu’il faut faire, c’est de rester ouvert devant lui, et d’admettre en toute franchise ce qui va mal. Il fera le reste ».
L’auteur apprendra à mettre en pratique cet « amour révolutionnaire », allant jusqu’à aimer le dictateur paranoïaque et cruel qui règne en Ouganda de 1971 à 1979.
Vous aussi pouvez vivre la transformation radicale que propose l’Évangile de la grâce. Ce livre vous encouragera à laisser le Saint-Esprit faire de vous un artisan du réveil.
Festo Kivengere (1919 - 1988)
was a Ugandan Anglican-Christian leader referred to by many as "the Billy Graham of Africa".[who?] (See endnote 4.) He played a huge role in a Christian revival in southwestern Uganda, but had to flee in 1973 to neighboring Kenya in fear for his life after speaking out against Idi Amin's tyrannical behavior.Kivengere had been made bishop of Kigezi and was among several bishops summoned to Amin's quarters. Angry mobs called for their deaths. Eventually, all were permitted to leave but one, the archbishop, Janani Luwum. The others waited for Luwum to join them but he never came out. The next day the government announced that Luwum had died in an automobile accident. Four days later, despite government threats, 45,000 Ugandans gathered in the Anglican cathedral in Kampala for a memorial service honoring their fallen leader. Kivengere did not attend the service. Urged to flee by friends who said, "One dead bishop is enough," he and his wife that night drove as far as their vehicle could take them and with the help of local church people in the hills they walked until the next morning brought them to safety across the border in Rwanda.[1]
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